Le Département de Biologie Moléculaire Végétale (DBMV) a pour ambition de contribuer aux défis auxquels l'humanité devra faire face au cours du siècle prochain, en particulier celui de nourrir une population qui passera de 6,5 à 9 milliards d'êtres humains d'ici à 2050 dans un contexte de réchauffement planétaire.
Les progrès réalisés dans la compréhension des aspects fondamentaux de la biologie moléculaire végétale seront essentiels pour développer une production agricole adaptée aux sources d'énergie renouvelables et respectueuse de l'environnement.
Si le premier laboratoire dédié à la biologie végétale expérimentale à l'Université de Lausanne a été établi en 1919, l'actuel DBMV a été créé en 2003 et il s'est fortement développé pour devenir le plus grand département de recherche en biologie moléculaire végétale des universités de Suisse occidentale, entretenant une collaboration fructueuse avec le Centre Intégratif de Génomique et participant au programme de Master en Génomique et Biologie Expérimentale.
Au DBMV, la recherche emploie l'ensemble des nouveaux outils très puissants ayant profondément transformé la recherche en biologie végétale tels les séquences complètes des génomes de nombreuses plantes, l'essor de la génomique, la bioinformatique, les nouvelles techniques d'imagerie et la biologie des systèmes pour l'étude de la plante au niveau moléculaire.
Ce département dynamique, de plus de 60 collaborateurs, comprend aujourd'hui 8 laboratoires de recherche étudiant les aspects moléculaires des plantes (le pliage des protéines, les composants moléculaires impliqués dans les interactions des cellules végétales avec les agents pathogènes ou les symbiotes, le transport d'ions et les cascades de transduction de signaux impliquées dans la réponse aux stress et aux phytohormones).
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